Connaître les refus de sacrements demande dans un premier temps de les situer dans le temps et dans l’espace, et d’étudier quelques unes de leurs caractéristiques essentielles : Qui en sont les victimes ? Quels sacrements leur sont-ils refusés ? A quelles procédures ces personnes recourent-elles ?
Répondre à ces questions pose un certain nombre de difficultés dues à la manière dont le sujet est traité par les Nouvelles Ecclésiastiques.
Les refus de sacrements sont rapportés de manières très différentes : tous ne font pas l’objet d’un article spécifique et certains refus sont mentionnés sans être le sujet principal de l’article. Par exemple, l'article du 9 juillet 1760 au sujet du décès du duc de Perth survenu en février de la même année, rappelle que son épouse avait éprouvé un refus de sacrements en janvier 1755. L'auteur rappelle brièvement les grandes lignes de cette affaire : les derniers sacrements ne furent administrés à cette dame " qu'en vertu d'un Arrêt du Parlemt, après plusieurs sollicitations inutiles auprès du Curé de la part du mari, qui se trouva forcé, contre son caractère, d'en venir à des Sommations juridiques. " Un tel rappel permet d'entretenir la mémoire des persécutions (un renvoi indique "la relation de cet événement dans les Feuilles des 6 et 13 Mai 1755 "), et de rendre hommage à leurs victimes. En outre, il sert à justifier une nouvelle fois le choix qu'a fait ce couple de porter plainte devant les tribunaux laïques, en insistant sur leurs intentions pacifiques : " Le Curé en fut la victime, mais il ne put ignorer lui-même combien les démarches du Milord coûtèrent à son coeur, & aux dispositions pacifiques du mari & de sa femme."(1)
A l’inverse, certaines affaires font l’objet de plusieurs articles : le journal suit leur déroulement sur plusieurs mois ou même sur plusieurs années et y consacre parfois quatre ou cinq articles. Cela explique que nous ayons plus d’articles que de refus de sacrements. Pas moins de quatre articles sont consacrés à M. Pierre Miellet : en octobre 1767(2) puis en février 1768(3) , le périodique dénonce " l'injustice criante " dont est victime le curé de Ferques, dans le diocèse de Boulogne. Agé de quatre-vingt huit ans, il s'est trouvé au mois de mars 1767 " hors d'état de soutenir plus longtems les travaux du St Ministère ", et son évêque, M. Partz de Pressy, l'a autorisé à se retirer dans sa famille, à Samer. Là, il lui fut défendu par le même évêque de célébrer la messe et même de recevoir les sacrements. " M. Miellet se renferma d'abord dans le silence, & souffrit avec une entière résignation à la volonté de Dieu un traitement si injuste. " Mais il sentit que son devoir était de faire " tout son possible pour se maintenir dans le droit de dire la Messe & de s'approcher des Sacremens ". Il s'adressa donc a l'archevêque de Reims, dont l'évêché de Boulogne est suffragant, et obtint gain de cause grâce à une ordonnance de M. de la Roche-Aimon. Un troisième article(4) , daté du 19 décembre 1770, annonce la " pieuse & sainte mort de ce vénérable Pasteur, & la Conclusion des injustes traitemens de M. de Pressy, qui l'a laissé mourir sans Sacremens, quelques instances qu'il ait faites, soit auprès de cet Evêq. lui-même, soit auprès du Curé de Samer, pour les obtenir. " Les NNEE. donnent un récit détaillé de toutes les démarches entreprises par le malade pour se procurer les secours de l’Eglise, et veulent prouver qu'il s'agit d’un " des actes de schisme les plus odieux & les plus opiniâtrement soutenus ". Averti de la mort de M. Miellet, son neveu fit une requête au procureur du roi " pour la vindicte publique & l'affront fait aud. feu Sr son oncle & à sa mémoire ". Le déroulement de la procédure fait l'objet d'un quatrième et dernier article en 1772 (5), dans lequel le rédacteur s'indigne de l'impunité du curé et de la complaisance des juges de la sénéchaussée de Boulogne.
La longueur des développements concernant les refus de sacrements peut donc aller de quelques lignes à une douzaine de pages. Dans la feuille du 13 février 1757 figure en quelques mots la mention d'un refus de sacrements, à l'intérieur d'un compte-rendu de séance du Parlement :
Le 5e article du récit de M. le Président de Maupeou, étoit un refus de sacremens fait à un conseiller de la Cour dans une de ses terres. Il en fut rendu compte le 5 Oct. par M. le Procureur Général une Plainte reçue par la Chambre, qui ordonna une information, tant à Paris que sur les lieux. Mais cette affaire n'a pas eu de suite(6).
Toutefois, il est très rare que les refus de sacrements soient relatés aussi brièvement ; le rédacteur s'applique habituellement à donner un récit détaillé des faits. Il peut arriver que deux numéros consécutifs soient consacrés à une seule affaire, ou même trois, comme pour la Mère Anne Cordelier de Saint François de Sales(7).
Cette religieuse ursuline de l'abbaye de Saint-Cloud, près de Paris, souffre d'un cancer au sein depuis quatorze mois lorsqu'elle se voit refuser les sacrements, du 13 août au 4 septembre l765, sur ordre de M. Christophe de Beaumont. L'archevêque de Paris est désigné comme l'initiateur de ce refus, bien qu’on ne le voie pas intervenir directement dans l'affaire. Le chapelain, qui refuse à la malade son ministère, ne fait qu'obéir à ses ordres, tout comme la supérieure, qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher l'administration.
L'article décrit avec précision tout le déroulement de cette affaire, et démontre que cette odieuse persécution ne laissait pas d'autre issue à la Mère Anne Cordelier que de recourir aux tribunaux. Il met en évidence le machiavélisme des constitutionnaires qui isolent cette religieuse de ses amies et exercent sur elle une pression incessante : la supérieure ne laissait " auprès d'elle que les discoles, qui continuoient sans interruption les assauts que le Confesseur ranimait fréquemment par sa présence. " Ce dernier est présenté comme un homme sournois, plein de malice et de ruse :
Il n'avoit d'autre objet que de tendre des pièges à la simplicité de sa foi, & d'arracher d'elle, au moins d'une manière entortillée, quelqu'acte de soumission à la Bulle Unigenitus. Aux argumens les plus usés, il ajouta des stratagèmes nouveaux. Il lui dit enfin que le point d'honneur étoit peut-être le plus grand obstacle qui l'arrêtoit; qu'elle craignoit apparemment, en revenant sur une démarche qui avoit fait de l'éclat, d'encourir dans l'esprit de plusieurs de ses soeurs & d'un certain Public la honte d'une rétraction; mais qu’il lui épargneroit cette honte, en ne manifestant à personne son changement. A cette horrible proposition la malade répondit avec fermeté que c'est la crainte de Dieu qui doit faire impression sur un chrétien, & non pas celle des hommes. Le Confesseur se retourna alors d'un autre côté. Abusant avec une hypocrisie détestable des saintes règles condamnées par la Bulle dont il exigeoit l'acceptation, il dit à la malade qu'étant éloignée des Sacremens depuis 4 années, elle ne pouvoit trouver mauvais qu'il différât de lui donner l'Absolution, afin de prendre quelque teins pour l'éprouver. Après quoi il alla chercher à Paris des instructions ultérieures, & ne revînt que le Jeudi 22 au soir.
La religieuse décida devant le refus persévérant de ce confesseur " d'avoir recours a la protection des tribunaux ", mais il fallut l'intervention de quantité de personnes de tous rang avant qu'elle puisse enfin être administrée : de nombreux magistrats du Parlement de Paris, un huissier, M. de Saint-Florentin, le lieutenant de police et l'abbé de Breteuil, chancelier du duc d'Orléans. Pour finir, il fallut un serrurier pour ouvrir la porte du couvent et y faire entrer le doyen de la paroisse qui acceptait de l'administrer. Cette procédure nécessita de multiples consultations, procès-verbaux et sommations avant que le Parlement ne vienne à bout des religieuses " discoles ". Le rédacteur s'efforce de retracer ces interminables démarches mais ne peut s'empêcher de remarquer :
Après tant de négociations, d'Assignations, de Sommations, de Procès-verbaux, d’Arrêts &c. accumulés en moins de 8 jours pour parvenir à faire administrer la Mère St François, on n'étoit guères plus avancé que le premier jour. Tant de mouvemens & de la Cour, & de la Police, & du Parlement, n'avoient servi qu'à donner lieu au fanatisme de braver les Loix avec scandale, & de se signaler par un exemple si dangereux pour l'Etat dans des tems de trouble. Les Ministres ne manquoient pas de moyens d'arrêter ce désordre dès sa naissance, mais il paroit qu'ils vouloient ménager M. l’Archevêque de Paris. Ce Prélat de son côté ne s'observoit guères lui-même ; il se montroit à découvert Partie principale dans cette affaire.
Enfin, devant la précarité de la situation du clergé soumis à la volonté arbitraire de l’archevêque de Paris, l'auteur ne cache pas son amertume : " Ne pas se soumettre aveuglément aux volontés arbitraires d'un Evêque, est aujourd'hui un péché irrémissible. "
Les citations ci-dessus ne laissent pas de doute quant aux intentions de l'auteur. S’il juge bon de consacrer onze pages des Nouvelles ecclésiastiques à cette affaire, c'est parce qu'elle fournit une excellente illustration au discours qu'il veut imprimer dans l'esprit de ses lecteurs concernant les " affaires du tems ".
Il est parfois difficile de déterminer si on a affaire ou non à un refus de sacrements lorsque les articles parlent de " difficultés faîtes pour l'administration des sacrements ".
Ainsi, le lundi 12 juin 1758 au matin, quatre laïcs se rendent au presbytère de la paroisse Saint-Sulpice à Paris, et demandent les sacrements pour l'abbé de la Broue, diacre(8). Le portier, avant de les laisser entrer, leur demande pour qui ils viennent, si l'homme en question a été confessé et le nom du confesseur ; à quoi on lui répond qu'il a été confessé mais qu’on ne sait pas par qui. Le prêtre les reçoit ensuite et les interroge de nouveau sur le malade : il est déterminé à faire une enquête pour découvrir l’identité du confesseur de l'abbé de la Broue. Les laïcs l'avertissent alors qu'on prendra son retardement pour un refus. Craignant de perdre sa cure, comme le curé de Saint-Nicolas-des-Champs quelque temps auparavant, le curé s'empresse de faire venir le porte-dieu. Celui-ci fait l'administration correctement sans s'informer sur le malade et ne s'enquiert à son sujet qu'après la cérémonie ; il dit même avoir apporté les sacrements " tout en colère ". Enfin, pour l'inhumation, la messe est expédiée avec mauvaise volonté.
Les attitudes du curé et du porte-dieu caractérisent des hommes pusillanimes, qui nous étonnent par leur incohérence. Nous devons préciser à leur décharge qu'ils sont comme des otages dans cette affaire car ils ont à craindre a la fois le Parlement et l'évêque qui peuvent chacun leur ôter leurs fonctions. Ils se contentent donc de susciter des obstacles à l'administration de M. de la Broue, afin de s'épargner la réprobation de l'évêque, mais prennent garde de ne pas aller jusqu'au refus, ne voulant pas s’exposer aux foudres du Parlement.
S'agit-il d'un refus de sacrements contrarié ou simulé ? Il est impossible de le savoir. Quoi qu'il en soit, pour les besoins de cette étude, j'ai pris en compte les quelques affaires qui se déroulent de façon comparable à celle-ci.
J'ai également dû faire des choix arbitraires lorsqu'il s'agissait de compter le nombre de refus. Ce problème se pose en particulier quand un article traite de plusieurs personnes à la fois. Par exemple, le long développement qui expose les persécutions subies par les religieuses hospitalières de Saint-Mandé, près de Paris, fait état de plusieurs refus de sacrements au cours des années 1765-1766(9). Fin août 1765, la Soeur des Anges a été privée des derniers sacrements, puis une novice s'est vue refuser l'eucharistie lors de sa profession ; enfin à Pâques 1766, seize religieuses ainsi que deux ou trois novices et autant de converses furent empêchées de faire leurs Pâques, le confesseur ayant refusé de recevoir leurs confessions. Ces trois refus touchent différentes personnes à plusieurs mois d’intervalle, mais ils sont complémentaires parce qu'ils émanent de la même volonté de l'évêque de contraindre ce couvent à accepter la constitution Unigenitus. Dans ce cas, je les traite ensemble, comme les éléments d'une seule affaire.
Je n'ai compté séparément des affaires rapportées dans un même article que quand j'estimais qu'elles étaient indépendantes l'une de l'autre, comme c'est le cas en ce qui concerne les religieuses de Saint-Charles et Saint-Loup à Orléans(10) : ces affaires sont traitées en parallèle dans les NNEE. pourtant, en dépit de leurs points communs, ce sont deux affaires distinctes, qui ont d'ailleurs débuté avec cinq ans d'écart.
En 1757, les NNEE. rendent compte des privations de sacrements qu’éprouvent deux couvents d'Orléans, depuis trente-quatre ans pour les Cisterciennes de Saint-Charles et depuis vingt-neuf ans pour les Ursulines de Saint-Loup. Les quatre articles qui leur sont consacrés au cours des années 1757 et 1758 exposent ces deux affaires symétriquement pour les comparer, et rapportent les démarches entreprises par chacune de ces deux communautés auprès de l'évêque, M. de Montmorency, en vue d'obtenir les sacrements. Il existe bien entendu de nombreux rapprochements entre ces deux persécutions, mais elles ne sont pas interdépendantes et constituent bien deux affaires distinctes. La participation aux sacrements fut rétablie pour les deux communautés grâce à deux vicaires généraux lorsque M. de Montmorency se démit de son évêché en octobre 1757.
J'ai procédé selon le même principe quand plusieurs articles traitaient des étapes successives de la persécution éprouvée par une même personne ou une même communauté religieuse. Je les considère comme des affaires différentes uniquement quand les refus sont indépendants les uns des autres. Ce cas se présente pour les religieuses de Saint-Loup vingt ans après la fin de la première persécution, deux religieuses de cette abbaye sont privées des sacrements(11) : en mars 1777, les NouveI1es ecclésiastiques rapportent que la Mère Sophie Dubiez et la Soeur Ste Anne Thiercelin, converse, sont de nouveau écartées de la participation aux sacrements, depuis le début de l'année précédente. Ces deux religieuses sont âgées et restent seules parmi celles qui ont été si longtemps privées des sacrements, de 1728 à 1757. L'initiative de cette nouvelle vexation est attribuée à une abbesse arrivée dans ce couvent en 1775, qui s'est employée à " réactiver le feu du schisme " après une vingtaine d'années de paix. Tant d'années écoulées font de ce refus une affaire distincte de la première.
En revanche, il arrive qu'un article relatant un refus de sacrements récent précise que la même personne a déjà éprouvé pareil refus dans le passé, ou que l'auteur du refus en a fait un ou plusieurs autres. Ce ne sont que de courtes assertions, très imprécises, et sur lesquelles le rédacteur n'insiste pas : elles ne servent qu'à appuyer son argumentation. Par exemple, au sujet du refus de sacrements à la Mère Anne Cordelier que j’ai évoqué plus haut, le rédacteur insère entre parenthèses le commentaire suivant sur le Sieur Pommier, envoyé par l'évêque pour remplacer le chapelain du couvent " C’est un ancien Chapelain de cette Communauté, lequel y fit il y a quelques années un refus de Sacremens qui n'eut aucune suite. " Dans ce cas, bien entendu, je ne compte pas de refus supplémentaire.
Comme le montrent tous les exemples cités, j'ai souvent dû faire des choix plus ou moins arbitraires pour départager les cent soixante-sept affaires de refus de sacrements que j'ai relevées dans les Nouvelles ecclésiastiques. Il faut donc être conscient, en utilisant les données quantitatives ainsi obtenues, qu'elles dépendent en partie des choix opérés, et les utiliser avec davantage de prudence encore. J'ai fait ces choix pour que l’analyse des résultats obtenus soit la plus fiable possible, c'est pourquoi ils tendent toujours vers les nombres inférieurs. Si par exemple une vingtaine de religieuses sont privées de sacrements, je compte un refus et pas vingt ; de même lorsque sept paroissiens se voient refuser l'eucharistie à l'église paroissiale pour Noël(12).
J'ai essayé d'être aussi fidèle que possible à la démarche d'un journal de propagande, ce qui me conduit à relativiser la signification des critères quantitatifs. Le périodique janséniste ne cherche pas à rendre compte objectivement de la situation globale des refus de sacrements. Il ne nous donne que des éclairages ponctuels, des exemples, qui sont souvent plus révélateurs par le discours qu'ils véhiculent que par les faits concrets qu'ils rapportent. Cette prédominance du discours est absolument fondamentale et elle détermine le choix de refus présentés.
Il convient d’insister sur le caractère aléatoire des affaires présentées : le nombre de 167 refus de sacrements répartis dans toute la France en un peu plus de trente ans est finalement assez faible et certainement très inférieur à la réalité. A cet égard, nous verrons que le choix du rédacteur n'est pas le fruit du hasard mais qu'il s'opère selon des critères précis, justement parce que ces affaires ont valeur d'exemple.
Il ne saurait être question de voir dans la répartition chronologique ou géographique des refus de sacrements que mentionnent les Nouvelles ecclésiastiques un reflet fidèle de la réalité du phénomène, et nous devons avoir la même méfiance pour chacun des critères étudiés.
Le périodique janséniste s'efforce généralement de préciser les lieux et dates des refus, ainsi que les grands traits du déroulement des affaires, par souci de crédibilité ; mais il reste néanmoins des lacunes et des incertitudes, si bien qu’il n’est pas possible d’apporter des réponses absolues à nos questions. Cependant la difficulté majeure dans toute tentative de commentaire et d’interprétation réside dans le fait de savoir dans quelle mesure les indications fournies peuvent être représentatives de la réalité globale.
(1) NNEE., a. 60, p. 126 (du 9 juillet).
(2) NNEE., a. 67, pp. 173-174 (du 28 octobre).
(3) NNEE., a. 68, pp. 23-27 (des 6 et 13 fevrier).
(4) NNEE., a. 72, pp. 202-204 (du 19 décembre).
(5) NNEE., a. 72, pp. 69-70 (du 30 avril).
(6) NNEE., a. 57, p. 29 (du 13 février).
(7) NNEE., a. 66, pp. 73-80 et 82-84 (des 2, 8 et 15
mai).
(8) NNEE., a. 58, pp. 161-163 (du 3 octobre).
(9) NNEE., a. 66, pp. 206-211 (des 18 et 24 décembre).
(10) NNEE., a. 57, pp. 150-152 et 202-204 (des 11 septembre
et 14 décembre); a. 58, pp. 19-20 et 173-178 (des 23 janvier, 27 octobre
et 4 novembre); a. 77, p. 41 (du 13 mars).
(11) NNEE., a. 77, pp. 41-48 (des 13 et 20 mars).
(12) NNEE., a. 73, pp. 36 et 118 (des 27 février
et 25 juillet).